"Aux prises avec des « défis financiers » importants, l’Institut de réadaptation Gingras-Lindsay-de-Montréal vient de fermer un lit sur trois à l’unité de santé physique, qui traite principalement des personnes âgées trop fragiles à leur sortie de l’hôpital pour rentrer à la maison. Pourtant, ces lits étaient toujours pleins, confirme la direction, qui répète malgré tout que cela ne nuira pas à l’accès aux soins."
"À l’Institut, on passe donc de 176 à 156 lits. Pour le programme spécifique de santé physique, le site Web de l’Institut fait mention de 63 lits permanents. C’est donc un lit sur trois qui a été coupé dans ce programme. Pourtant, ces lits étaient « pas mal complets », confirme Mme Charbonneau. Celle-ci se défend presque de l’achalandage : « Oui, notre taux d’occupation était très élevé, mais c’est parce qu’on était très proactif pour maintenir nos lits pleins. »"