Ceci entraînerait une baisse d'effectif de quinze personnes, dont près de la moitié travaillent en région. il manquerait déjà de fonctionnaires au ministère pour répondre aux exigences de la planification forestière qui est maintenant la responsabilité du gouvernement depuis l'adoption du nouveau régime forestier.
Environnement
Bureau du forestier en chef
1M$ de coupe sur un budget de 5,3M$.
Ministère de la Faune
Parmi les postes de professionnels qui disparaîtront bientôt, on compterait une vingtaine de biologistes, donc des scientifiques. En plus des biologistes oeuvrant dans toutes les régions du Québec, près d’une vingtaine de postes de techniciens travaillant eux aussi dans diverses régions devraient disparaître.Les biologistes et les techniciens qui perdront leur emploi sont en outre responsables de l’inventaire d’espèces fauniques exploitées ou à statut précaire.
100 postes coupés.
Recherche en foresterie
Abolition du volet du Programme de recherche en partenariat sur l'aménagement et l'environnement forestiers, ainsi que le Programme d'appui à la recherche forestière. Pour les chercheurs, la perte de ces subventions vient réduire la quantité d'information qu'ils recueillent pour assurer l'avenir de la forêt et de l'industrie qui s'y rattache. Ces coupes entraîneront une réduction de la recherche sur la biodiversité et sur le caribou des bois et des étudiants au deuxième cycle seront refusés à l'Université du Québec à Chicoutimi, faute de financement.
Abolition.
Protection faunique
Des techniciens et des scientifiques travaillant pour l’État québécois sur une base contractuelle ont reçu, à leur plus grand étonnement, un avis les informant que le gouvernement mettait carrément fin à leur contrat. Dans certains cas, les contrats ne devaient pourtant pas arriver à échéance avant plusieurs mois.Moins de protection faunique. Risque de nuire sérieusement à la capacité des agents à lutter efficacement contre le braconnage au Québec.
50 postes coupés.